jeudi 11 septembre 2014

Cellulaire de Stephen KING


Le monde civilisé ne disparaît pas dans un bruit de tonnerre ou un gémissement. Il finit sur un simple appel de votre portable. On se souviendra de ce qui est arrivé un bel après-midi de 1er octobre, comme de 'La Pulsation'. Un signal envoyé à tous les portables qui transformera leurs utilisateurs en quelque chose de... comment dire ?, pas tout à fait humain. Sauvage, meurtrier, d'une violence aveugle et déchaînée. Acte terroriste ? Canular cybernétique devenu incontrôlable ? Peu importe aux rescapés de cette attaque technologique. Ce qui leur importe avant tout, c'est de s'en sortir. Un groupe de 'Normaux' - c'est ainsi qu'ils se considèrent - se rassemblent alors sur le terrain de sport d'un lycée où, dans la clarté de la lune, les attend une chose monstrueusement terrifiante.

Lu dans le cadre du challenge Livra'deux pour PAL'addict, avec comme binome pour cette édition Sophie qui a choisi de lire "Ce qu'il nous pas pu nous prendre", un livre que j'avais beaucoup aimé, Cellulaire sort des genres normaux, que l'on voit tous les jours dans la littérature. En effet, c'est l'apocalypse, l'horreur absolue, mais très franchement je ne peux rien vous dire sur le contenu, ça dévoilerais trop l'intrigue.


Mais au niveau de l'écriture, j'ai beaucoup aimé l'écriture de Stephen King, qui dans Dome était pour moi trop long et descriptif (d'ailleurs Dome t.2 est toujours en pause). Dans Cellulaire, on retouve ce coté-ci au début pour introduire les eléments déclencheurs, c'est un peu le passage obligé de tout livre, mais après l'action monte chresendo et il y a vraiment de l'action tout le temps ou presque.


Vous avez donc compris, j'ai donc beaucoup aimé Cellulaire, mais parce que oui il y a un "mais" autrement c'est pas drole, vous connaisez mon aversion pour les fins ouvertesn surtout quand elles sont très (trop?) ouvertes, genre celle de la trilogie Delirium, je ne suis pas allergique aux fins ouvertes, parce que ça peut-être très bien, mais là c'est pas possible, c'est pas que c'est une fin ouverte, c'est que c'est même pas une fin du tout, on a vraiment l'impression que l'auteur an avait marre et à décider qu'il arretais là ce roman, ce dont je suis sur que c'est fait exprès et pas du tout parce que l'auteur en avait marre, mais du coup c'est encore plus frustrant! Je vais arreter parce qu'autrement le paragraphe du "moins" ferra 25 lignes mais bon je pense que vous avez compris^^


Donc à cause de ce grand "mais" : 


18/20




L'avis de Sophie sur "Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre" (à venir)

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